SOS Déménage!

Depuis le 1er juin, nos bureaux sont déménagés au 204 rue Notre-Dame Ouest, suite 350, à quelques blocs de notre ancien bureau, dans de nouvelles installations plus spacieuses pour notre équipe qui grandit au fur et à mesure que nous desservons un clientèle satisfaite de la qualité de nos services.

Notre numéro de téléphone reste le même, soit le (514) 448-4911. Vous pouvez toujours nous appeler pour demander vos questions, ou visitez notre site web et la page des questions posées fréquemment.

Voici notre emplacement sur la carte Google Maps.

SOS Ticket dans les médias

Notre avocat en chef, Jack W. Rodriguez, est cité comme expert dans  l’article du Journal de Montréal «Voici comment réussir sa contestation de ticket». Donc, comment réussir sa contestation de ticket? Voici ce que les conseils donnés dans l'article:

  1. Préparer les preuves: Il faut accumuler un maximum de preuves pour faire valoir votre cause: photos et notes détaillées, endroit exact de la présumée infraction et de la position du policier (croquis ou capture d’écran Google Map), nombre de voitures sur la route, signalisation en place, etc. Imprimez le tout en trois copies que vous apporterez en cour.
  2. Se vêtir et parler convenablement: Habillez-vous de façon conservatrice, de manière à afficher votre respect envers le tribunal (ne machouillez pas de gomme, ne portez pas de casquette ni de chapeau, pas de shorts... même s’il fait chaud!). En arrivant à l’avance, vous pourrez vous familiariser avec les consignes des lieux: pas de téléphone, pas d’eau, pas le droit de croiser les bras ni de mettre les mains dans les poches...! Adressez-vous poliment au juge («monsieur le juge», «votre honneur», etc.) et attendez toujours qu’on vous donne la parole.
  3. Faire douter le juge: En résumé, le juge va vous acquitter s’il croit votre version des faits ou si votre version est assez plausible et crédible pour soulever un doute dans son esprit. Si, malgré votre témoignage et les questions que le procureur vous a posées, vous n’avez soulevé aucun doute raisonnable par rapport à la version du policier, vous serez jugé coupable.

Parmi les quelques exemples loufoques à éviter, l'excuse suivante : «Ma Honda Civic noire a été victime de profilage raciale».

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